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Incendies en Russie:
l'Abkhazie prête d'accueillir 1.000 enfants sinistrés (Bagapch) |
Soukhoum, Un millier d'enfants
russes des régions affectées par les incendies qui ravagent depuis
plusieurs jours le centre et l'ouest de la Russie sont conviés à passer
le mois d'août en Abkhazie, a annoncé samedi à Soukhoum le président
abkhaz Sergueï Bagapch.
"Nous sommes au courant de ce qui se passe
actuellement en Russie (…). L'Abkhazie est disposée à accueillir en août
un millier d'enfants russes afin que ces derniers se reposent chez nous
le temps que leurs parents s'occupent de l'aménagement", a-t-il déclaré
lors d'une réunion avec une délégation gouvernementale russe, conduite
par le premier vice-premier ministre Igor Chouvalov.
M. Chouvalov a promis de mettre le
président et le premier ministre russes au courant de cette proposition.
La chaleur anormale et la sécheresse qui
règnent depuis la mi-juin sur pratiquement toutes les régions de la
Russie provoquent un nombre croissant d'incendies. L'état d'urgence a
déjà été décrété dans 27 régions.
31.07.2010
RIA Novosti
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Cargo ukrainien
arraisonné par Tbilissi: protestations de l'Abkhazie |
Soukhoum, L'Abkhazie a adressé
vendredi une note de protestation à la Géorgie dont les autorités
avaient arraisonné mercredi un cargo ukrainien pour être entré dans les
eaux territoriales abkhazes.
Le cargo Akkord transportant des céréales
a été arraisonné le 28 juillet au moment où il venait de quitter les
eaux territoriales abkhazes. Au cours des prochaines journées, son
capitaine comparaîtra en justice, et si sa culpabilité est établie, le
navire et sa cargaison seront saisis et vendus aux enchères. Le
capitaine a déjà été mis en examen "pour infraction aux règles d'entrée
sur un territoire occupé".
"En capturant les navires marchands qui se
dirigent vers l'Abkhazie ou qui se trouvent dans ses eaux territoriales,
la Géorgie cherche à plonger l'Abkhazie dans l'isolement économique.
Cette politique de Tbilissi va à l'encontre du droit humanitaire et du
droit international de la mer et constituent un acte d'agression",
indique la note de protestation.
Soukhoum s'est déclaré indigné par
l'inertie des structures internationales implantées en Géorgie. La
diplomatie abkhaze a demandé à tous les participants aux discussions de
Genève sur la sécurité dans le Caucase du sud de "prendre sans tarder
les mesures nécessaires pour prévenir les provocations géorgiennes de ce
genre".
30.07.2010
RIA Novosti
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Géorgie:
arraisonnement d'un navire ukrainien ayant traversé les eaux abkhazes |
Tbilissi, Les gardes-côtes
géorgiens ont arraisonné mercredi un navire ukrainien qui venait de
quitter les eaux territoriales d'Abkhazie, dont l'indépendance par
rapport à Tbilissi est reconnue par quatre pays dont la Russie, a
annoncé jeudi la porte-parole de la police frontalière géorgienne.
"Le vraquier Akkord, battant pavillon
ukrainien, a été arraisonné au large de Poti le 28 juillet dernier,
après qu'il eut quitté l'Abkhazie" que la Géorgie considère comme un
territoire occupé par la Russie, a indiqué la porte-parole.
L'équipage du navire comprend cinq hommes
- le capitaine russe et quatre marins ukrainiens. Le capitaine est
accusé de "violation des règles d'entrée sur un territoire occupé" et
risque une peine entre trois et cinq ans de prison.
La reconnaissance de la souveraineté
politique de l'Abkhazie par Moscou a fait suite à l'attaque géorgienne,
le 8 août 2008, contre une autre république autoproclamée du Caucase,
l'Ossétie du Sud. Le geste de la Russie a été imité par le Nicaragua, le
Venezuela et Nauru, petit Etat insulaire du Pacifique. Tbilissi a
qualifié l'Abkhazie et l'Ossétie du Sud de "territoires occupés" et
rompu les relations diplomatiques avec Moscou.
29.07.2010
RIA Novosti
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Discussions de
Genève: nouveau tour le 14 octobre |
Moscou,
Le nouveau tour des discussions de Genève sur la sécurité en
Transcaucasie se tiendra le 14 octobre 2010, a annoncé mercredi par
téléphone le représentant plénipotentiaire du président sud-ossète
chargé du règlement du conflit Boris Tchotchiev.
"Le nouveau tour des discussions de Genève
aura lieu le 14 octobre", a indiqué M. Tchotchiev.
Selon lui, l'Abkhazie et l'Ossétie du Sud
pourraient demander le soutien des présidents russe et français afin de
régler la situation.
Les discussions de Genève se déroulent
depuis octobre 2008 suite aux événements tragiques en Ossétie du Sud et
réunissent les délégations géorgienne, russe et américaine, ainsi que
les représentants de l'Abkhazie, de l'Ossétie du Sud, de l'Union
européenne, de l'ONU et de l'OSCE.
L'unique résultat des neuf rounds
précédents a été l'adoption d'un document sur des mécanismes de
prévention et de règlement des incidents en Géorgie, Abkhazie et Ossétie
du Sud.
28.07.2010
RIA Novosti
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L'Abkhazie menace de
quitter les discussions de Genève |
Soukhoum, L'Abkhazie pourrait
suspendre sa participation aux consultations de Genève sur la sécurité
dans le Caucase du sud, Tbilissi et ses partenaires occidentaux refusant
de négocier la conclusion d'un accord sur le non-recours à la force, a
annoncé à RIA Novosti le représentant du président abkhaz aux
consultations Viatcheslav Tchirikba.
"Nous avons envoyé une note spécifiant que
nos propositions étaient ignorées par les coprésidents des discussions.
Ceux-ci ont tendance à privilégier les positions pro-géorgiennes et à
éluder la question clé: la conclusion d'un accord sur le non-recours à
la force", a-t-il déclaré.
"Il n'en reste pas moins que nous avons
décidé de prendre part à la prochaine rencontre", a souligné M.Tchirikba,
ajoutant toutefois que la délégation abkhaze ne s'y présenterait pas au
complet.
Selon lui, il est très probable que la
délégation suspende à l'avenir sa participation aux consultations si les
coprésidents - Pierre Morel (Union européenne), Charalampos
Christopoulos (OSCE) et Johan Verbeke (Nations unies) - ne soumettent
pas un projet d'accord sur le non-recours à la force.
Les discussions de Genève font suite au
conflit d'août 2008 en Ossétie du Sud. Elles se déroulent depuis octobre
2008 et réunissent les délégations géorgienne, russe et américaine,
ainsi que les représentants de l'Abkhazie, de l'Ossétie du Sud, de
l'Union européenne, de l'ONU et de l'OSCE.
Au terme du dernier volet des
consultations, début juin, les délégations de Soukhoum et de Tskhinval
ont déclaré que les négociations s'étaient retrouvées dans une impasse.
Elles ont également menacé de s'en retirer.
Selon Tbilissi, la position de ces deux
anciennes régions géorgiennes reconnues par Moscou marque une tentative
de torpiller les consultations de Genève.
26.07.2010
RIA Novosti
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L'avis sur le Kosovo
renforce les positions de Soukhoum (premier ministre abkhaz) |
Soukhoum,
L'avis de la Cour internationale de Justice sur la proclamation
d'indépendance du Kosovo confirme le droit des peuples à
l'autodétermination et justifie le droit de l'Abkhazie à l'indépendance,
a déclaré vendredi aux journalistes le premier ministre abkhaz Sergueï
Chamba.
Lors d'une audience publique tenue jeudi à
La Haye, le président de cette juridiction internationale de l'ONU, le
Japonais Hisashi Owada, a donné lecture de l'avis consultatif selon
lequel la proclamation unilatérale d'indépendance du Kosovo était
conforme aux normes du droit international.
"Il ne fait aucun doute que cet avis est
politisé. Si l'Abkhazie saisit La Haye d'une requête analogue, il n'est
pas garanti que la décision soit identique, même si nous avons plus de
droits historiques, juridiques et moraux à l'indépendance que les
Kosovars", a estimé M.Chamba, soulignant qu'une politique des doubles
standards était pratiquée à l'égard de Soukhoum.
Selon lui, la décision de la Cour
internationale de Justice ôte aux experts internationaux la possibilité
de nier le droit des Abkhaz à l'autodétermination et à l'indépendance.
L'Abkhazie, partie intégrante de la
Géorgie, a proclamé son indépendance à la chute de l'URSS. Les troupes
géorgiennes sont entrées en Abkhazie le 14 août 1992, mais se sont
heurtées à une résistance armée.
Les affrontements, à la suite desquels la
Géorgie a perdu le contrôle de l'Abkhazie, se sont achevés le 30
septembre 1993. Tbilissi considère pourtant ce territoire comme une
partie intégrante du pays et lui propose une large autonomie au sein de
la Géorgie. De 1994 à 2008, la paix dans la zone du conflit
abkhazo-géorgien était maintenue par une Force collective de la CEI
composée de militaires russes.
Tenues sous l'égide de l'ONU, les
négociations abkhazo-géorgiennes sur le règlement du conflit ont été
interrompues en 2006 après que Tbilissi eut introduit des troupes dans
les gorges de Kodor, région du territoire abkhaz disputé par la Géorgie.
La reconnaissance de la souveraineté
politique de l'Abkhazie et l'Ossétie du Sud par Moscou a fait suite à
l'attaque géorgienne, le 8 août 2008. Le geste de la Russie a été imité
par le Nicaragua, le Venezuela et Nauru, petit Etat insulaire du
Pacifique.
Tbilissi a qualifié l'Abkhazie et
l'Ossétie du Sud de "territoires occupés" et rompu les relations
diplomatiques avec Moscou.
23.07.2010
RIA Novosti
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Abkhazie/Ossétie/Nicaragua:
accord d'amitié et de coopération |
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Managua, L'Abkhazie, l'Ossétie
du Sud et le Nicaragua, premier pays à reconnaître les deux
républiques après la Russie, ont signé des accords d'amitié et de
coopération à l'issue d'un sommet à Managua, rapporte le
correspondant de RIA Novosti.
"Les documents signés aujourd'hui
visent à restaurer l'économie de nos pays. Nous devons travailler
conjointement dans ce domaine car personne ne peut nous y aider", a
déclaré le président abkhaz Sergueï Bagapch.
La visite de la délégation sud-ossète
à Managua est historique, a estimé à son tour le président de ce
pays Edouard Kokoïty. |
"Les documents interétatiques signés
au Nicaragua renforcent l'autorité internationale de notre Etat.
Nous développerons nos relations avec les autres pays, et négocions
actuellement avec les Etats d'Amérique latine et de l'Asie", a
ajouté M.Kokoïty.
Les chefs d'Etats sud-ossète,
nicaraguayen et abkhaz ont également signé des accords de
coopération économique et commerciale, ainsi que sur l'abolition des
visas entre les trois pays.
Le 26 août 2008, à la suite d'un
conflit armé avec la Géorgie, la Russie a reconnu l'indépendance de
l'Abkhazie et de l'Ossétie du Sud. Quelques jours après, le 5
septembre 2008, le Nicaragua a également reconnu les deux Etats
indépendants. Le 10 septembre 2009, son exemple a été suivi par le
Venezuela et le 15 décembre de la même année par l'Etat insulaire de
Nauru, dans le Pacifique.
21.07.2010
RIA Novosti
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Abkhazie-Ossétie du
Sud: il est temps de mettre fin au blocus (Ortega) |
Managua, Il est temps que la
communauté internationale mette fin au blocus de l'Abkhazie et de
l'Ossétie du Sud et reconnaisse le droit de leurs peuples à disposer
d'eux-mêmes, a annoncé le président nicaraguayen Daniel Ortega à la
veille d'une rencontre officielle avec ses homologues abkhaz et
sud-ossète.
"La visite des leaders abkhaz et
sud-ossète, Sergueï Bagapch et Edouard Kokoïty au Nicaragua est une
sorte de signal adressé à la communauté internationale l'invitant à
mettre fin au blocus de ces pays (l'Abkhazie et l'Ossétie du Sud, ndlr).
Il est temps de reconnaître leur droit souverain de vivre conformément
au choix qu'ils ont fait", a déclaré Daniel Ortega.
"Il est temps de reconnaître le droit
souverain des peuples à l'indépendance et au libre choix de leur destin",
a ajouté le leader nicaraguayen.
Le chef de l'Etat nicaraguayen a en outre
souligné que la manière dont ces deux Etats caucasiens ont obtenu leur
indépendance était similaire à celle empruntée par le Nicaragua.
"Nos pays ont parcouru le chemin de la
lutte armée et de la mobilisation du peuple pour l'indépendance", a
conclu Daniel Ortega.
MM. Bagapch et Kokoïty se sont rendus le
week-end dernier en visite officielle à Managua et s'entretiendront avec
M.Ortega mardi le 20 juillet.
En août 2008, l'armée géorgienne a détruit
Tskhinval, la capitale sud-ossète, tuant des centaines de civils, ainsi
que des soldats de la paix russes. La Russie a opposé une riposte
militaire de grande envergure destinée à imposer la paix à la Géorgie
avant de reconnaître la souveraineté des deux républiques. Affirmant
avoir été "victime d'une provocation russe", la Géorgie a rompu les
relations diplomatiques avec Moscou et proclamé les républiques "territoires
occupés".
L'indépendance de l'Ossétie du Sud et de
l'Abkhazie a été également reconnue par le Venezuela, le Nicaragua et le
Nauru.
20.07.2010
RIA Novosti
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Les présidents
abkhaz et ossète en visite au Nicaragua et au Venezuela |
Moscou, Le président abkhaz Sergueï
Bagapch se rendra samedi en visite officielle au Nicaragua et au
Venezuela, a annoncé mercredi à RIA Novosti le premier ministre abkhaz
Sergueï Chamba, ajoutant que le président sud-ossète Edouard Kokoïty
visiterait également ces pays, qui ont reconnu les deux républiques.
Selon le premier ministre, la tournée
latino-américaine de M.Bagapch se déroulera du 17 au 23 juillet. Ce sera
sa première visite officielle à l'étranger (à l'exception de la Russie)
en qualité de chef de l'Etat abkhaz.
"Il s'agit de notre première visite
d'amitié au sommet. La délégation abkhaze comprendra des membres du
gouvernement et des entrepreneurs", a déclaré M.Chamba.
D'après lui, Soukhoum envisage de signer
dans les deux pays des accords d'amitié, d'assistance mutuelle, de
coopération commerciale et d'abolition des visas pour les voyages
réciproques.
Le chef du gouvernement abkhaz a souligné
que les visites de MM. Bagapch et Kokoïty se dérouleraient selon des
programmes distincts.
"Au départ, les deux présidents se
rendront au Nicaragua pour prendre part, le 19 juillet, à la célébration
du 31e anniversaire de la Révolution sandiniste. Ensuite, la délégation
abkhaze repartira pour le Venezuela", a fait savoir M.Chamba.
Le 26 août 2008, à la suite d'un conflit
armé avec la Géorgie, la Russie a reconnu l'indépendance de l'Abkhazie
et de l'Ossétie du Sud. Quelques jours après, le 5 septembre 2008, le
Nicaragua a également reconnu les deux Etats indépendants. Le 10
septembre 2009, son exemple a été suivi par le Venezuela et le 15
décembre de la même année par l'Etat insulaire de Nauru, dans le
Pacifique.
15.07.2010
RIA Novosti
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L'UE invite
l'Abkhazie à élargir les liens économiques |
Soukhoum, Le représentant spécial
de l'UE dans le Caucase du Sud Peter Semneby a invité l'Abkhazie à
développer des rapports économiques tous azimuts malgré les divergences
politiques avec de nombreux acteurs internationaux, a annoncé Rouben
Migranian, porte-parole du premier ministre abkhaz.
L'émissaire de l'UE a visité mercredi
Soukhoum où il a rencontré le président de la république Sergueï Bagapch,
le chef du gouvernement Sergueï Chamba et le président du parlement
Nouzgar Achouba.
"M.Semneby a proposé au premier ministre
un projet de rétablissement des transports ferroviaires entre la Russie
et la Géorgie via l'Abkhazie et un projet éducatif prévoyant un échange
d'étudiants", a déclaré M.Migranian aux journalistes. Le chef du
gouvernement abkhaz a favorablement accueilli le projet éducatif et
l'idée de multiplier les contacts entre les hommes d'affaires, mais a
rejeté la proposition visant à développer les échanges économiques avec
la Géorgie.
"Tout projet économique visant à faire
revenir l'Abkhazie dans la Géorgie est voué à l'échec. Tant que les
questions de la réintégration et du retour des réfugiés ne seront pas
levées, nous n'entretiendrons pas de relations avec Tbilissi", a fait
remarquer M.Chamba.
Partie intégrante de la Géorgie depuis
1931, l'Abkhazie a proclamé son indépendance à la chute de l'URSS. Les
troupes géorgiennes y sont entrées le 14 août 1992, mais se sont
heurtées à une résistance armée. Les affrontements, à la suite desquels
la Géorgie a perdu le contrôle de ce territoire, ont pris fin le 30 août
1993.
A la suite de l'agression géorgienne du 8
août 2008 contre une autre entité autonome, l'Ossétie du Sud, ces deux
républiques ont demandé à la Russie de reconnaître leur indépendance.
Moscou a accédé à cette demande fin août 2008. En réponse, la Géorgie a
rompu les relations diplomatiques avec la Russie et qualifié les
nouveaux Etats indépendants de "territoires occupés".
14.07.2010
RIA Novosti
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OSCE: l'Abkhazie
et l'Ossétie du Sud doivent pouvoir s'exprimer (Moscou) |
Vienne, La Russie préconise
l'élargissement des possibilités de dialogue pour tous les participants
aux Discussions de Genève sur le Caucase du Sud, a déclaré jeudi à
Vienne Anvar Azimov, délégué permanent russe auprès de l'Organisation
pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE).
"Nous estimons qu'avec son approche
globale de la sécurité, l'OSCE pourrait servir de tribune à l'Abkhazie
et l'Ossétie du Sud pour s'exprimer devant les Etats membres", a indiqué
le diplomate lors d'une réunion du Conseil permanent de l'Organisation
dans la capitale autrichienne.
Selon M.Azimov, "on pourrait écouter
régulièrement les représentants de Soukhoum et de Tskhinvali lors de
briefings informels sous l'égide de la Présidence en exercice".
"De tels contacts sont indispensables,
notamment pour avoir l'information de première main", a conclu
l'ambassadeur russe.
Les discussions internationales de Genève
font suite au conflit d'août 2008 en Ossétie du Sud. Elles se déroulent
depuis octobre 2008 et réunissent les délégations géorgienne, russe et
américaine, ainsi que les représentants de l'Abkhazie, de l'Ossétie du
Sud, de l'Union européenne, de l'Onu et de l'OSCE.
01.07.2010
RIA Novosti
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